Villeurbanne-Lyon En campagne Publié le 28 janvier 2012
Hier, une journée avec #FH2012 à Grenoble: salle comble au Débat Libé, visite passionnante chez Schneider et pour finir meeting de folie a Bourgoin… quelques images.
Tags : fh2012
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il ne manque plus que l’union des forces de gauche qui est une condition de la victoire. J’espère que nous allons vivre des choses dans les prochaines semaines qui vont dans ce sens. Certes il y a des divergences et c’est normal mais il y a aussi dans nombre de domaine plus de convergence qu’il n’y en a eu depuis longtemps. Pour les elections mais aussi pour après face à l’ampleur de cette crise, face à la violence du systeme financier cela ne sera pas de trop.
Il faut continuer.
Le discours Sarkozy s’est déroulé dans une atmosphère très tendue . Cela prouve qu’il doute. Il faut avancer à mon avis tous les meetings il faut continuer a faire réver les gens.
Pour les meetings je souhaite que vous alliez plus chercher les gens . On doit sentir un élan . Le meeting du Bourget a été réussi il faut montrer qu’a gauche, la crise n’est pas le grand problème du monde et qu’on peut bien vivre .
Bonjour,
Il en faut pour tout le monde. Ca ne passera évidement pas, la liberté a des limites. LOL
http://www.youtube.com/watch?v=KeOObsnNYRY
M. Delpech : Quand j’étais chanteur
Florentino : Quand j’étais dragueur
J’avais mon priapisme
Qui devenait gênant
Y m’laissait pas tranquille
Fallait que j’baise tout l’temps
En costume ou en Tongue
D’la journaliste à la baby-sitter
J’courais après toutes les jambes
Quand j’étais dragueur
J’aimais les boots, les hanches,
Et les gros seins claires bien ronds
Dans leurs chemises entrouvertes
Me mettaient dans de bonnes dispositions
J’n’ai jamais su me retenir
D’faire le joli cœur
Je m’éclatais comme une bête
Quand j’étais dragueur
Un soir, au Saint-Georges
J’ai joué avec les fesses
D’une femme rencontrée
A un banquet donné après la messe
A l’époque j’avais rien à craindre
Pour m’accuser y fallait des preuves
J’menais une vie dingue
Quand j’étais dragueur
Il n’y avait que chez les roastbeef
Qu’on pouvait tout déballer
Au moindre excès d’vitesse
Les scribouillards enquêtaient
Ils en faisaient toute une histoire
Et le faisait savoir sur l’heure
Mais ici on ignorait tout d’mes écarts
Quand j’étais dragueur
Maintenant j’suis tranquille
J’baise plus tout l’temps
J’ai compris, j’nique plus par peur
D’être accusé d’harcèlement
J’coure plus les pieux, ma femme me suffit amplement
Pour moi, il y a longtemps que c’est fini
J’coure plus la gueuse aujourd’hui
Mais j’lui fait quand même des choses qu’elle aime
Et ça distrait nos nuits ( 2X )
23/05/11