Une journée avec #FH2012 à Grenoble…

Villeurbanne-Lyon En campagne Publié le 28 janvier 2012

Hier, une journée avec #FH2012 à Grenoble: salle comble au Débat Libé, visite passionnante chez Schneider et pour finir meeting de folie a Bourgoin… quelques images.

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3 commentaires sur Une journée avec #FH2012 à Grenoble…

  1. jean louis prime

    il ne manque plus que l’union des forces de gauche qui est une condition de la victoire. J’espère que nous allons vivre des choses dans les prochaines semaines qui vont dans ce sens. Certes il y a des divergences et c’est normal mais il y a aussi dans nombre de domaine plus de convergence qu’il n’y en a eu depuis longtemps. Pour les elections mais aussi pour après face à l’ampleur de cette crise, face à la violence du systeme financier cela ne sera pas de trop.

  2. Alex

    Il faut continuer.
    Le discours Sarkozy s’est déroulé dans une atmosphère très tendue . Cela prouve qu’il doute. Il faut avancer à mon avis tous les meetings il faut continuer a faire réver les gens.

    Pour les meetings je souhaite que vous alliez plus chercher les gens . On doit sentir un élan . Le meeting du Bourget a été réussi il faut montrer qu’a gauche, la crise n’est pas le grand problème du monde et qu’on peut bien vivre .

  3. Hermès

    Bonjour,

    Il en faut pour tout le monde. Ca ne passera évidement pas, la liberté a des limites. LOL
    http://www.youtube.com/watch?v=KeOObsnNYRY

    M. Delpech : Quand j’étais chanteur
    Florentino : Quand j’étais dragueur

    J’avais mon priapisme
    Qui devenait gênant
    Y m’laissait pas tranquille
    Fallait que j’baise tout l’temps
    En costume ou en Tongue
    D’la journaliste à la baby-sitter
    J’courais après toutes les jambes
    Quand j’étais dragueur

    J’aimais les boots, les hanches,
    Et les gros seins claires bien ronds
    Dans leurs chemises entrouvertes
    Me mettaient dans de bonnes dispositions
    J’n’ai jamais su me retenir
    D’faire le joli cœur
    Je m’éclatais comme une bête
    Quand j’étais dragueur

    Un soir, au Saint-Georges
    J’ai joué avec les fesses
    D’une femme rencontrée
    A un banquet donné après la messe
    A l’époque j’avais rien à craindre
    Pour m’accuser y fallait des preuves
    J’menais une vie dingue
    Quand j’étais dragueur

    Il n’y avait que chez les roastbeef
    Qu’on pouvait tout déballer
    Au moindre excès d’vitesse
    Les scribouillards enquêtaient
    Ils en faisaient toute une histoire
    Et le faisait savoir sur l’heure
    Mais ici on ignorait tout d’mes écarts
    Quand j’étais dragueur

    Maintenant j’suis tranquille
    J’baise plus tout l’temps
    J’ai compris, j’nique plus par peur
    D’être accusé d’harcèlement
    J’coure plus les pieux, ma femme me suffit amplement
    Pour moi, il y a longtemps que c’est fini
    J’coure plus la gueuse aujourd’hui
    Mais j’lui fait quand même des choses qu’elle aime
    Et ça distrait nos nuits ( 2X )
    23/05/11

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