Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, a visité vendredi 30 janvier 2015 le Campus des métiers et des qualifications des travaux publics de Bruay-la-Buissière. Elle y a annoncé les 17 lauréats du deuxième appel à projets pour les Campus des métiers aux côtés de Pierre Ferracci, président du Conseil national éducation économie (CNEE). Et la ministre a aussi lancé à cette occasion le troisième appel à projets.
Créés en 2013, les Campus des métiers et des qualifications sont une organisation particulièrement innovante de l’enseignement professionnel. Ils renforcent les coopérations entre le système éducatif et le monde économique au service de l’insertion professionnelle des jeunes. Un Campus regroupe différents types de formations dans un champ d’activité particulier (aéronautique, travaux publics, énergie, création numérique, tourisme etc.), pour lequel les besoins du territoire où il est implanté sont importants. Ils associent, au sein d’un partenariat renforcé, des entreprises, des laboratoires de recherche, et sont soutenus par l’État et les Conseils régionaux.
Retrouvez ici le mot de la Ministre et le dossier de présentation des Campus des métiers et des Qualifications :
Cet événement vise à mettre en lumière la montée en puissance d’une organisation particulièrement innovante de notre enseignement professionnel : les Campus des métiers et des qualifications.
La synergie est au cœur de ces Campus. Il s’agit de renforcer les coopérations entre le système éducatif et le monde économique au service de l’insertion professionnelle des jeunes.
Le Campus des travaux publics de Bruay-la-Buissière, qui nous accueille, offre un exemple de la plus-value apportée au développement des parcours de formation – et ce jusqu’aux plus hauts niveaux de qualification – des jeunes, élèves, étudiants, apprentis comme des adultes en formation professionnelle, de leur insertion professionnelle, tout en contribuant à la dynamique économique de la région et des besoins en formation qui en découlent.
Après une première vague de labellisation en 2013 qui a concerné 14 projets, la manifestation d’aujourd’hui me donne l’occasion d’annoncer les lauréats du deuxième appel à projets. 17 Campus viennent s’ajouter aux 14 existants et constituer ainsi une offre globale sur des champs d’activité stratégiques et innovants.
Ce sera aussi l’occasion de faire un point d’étape avec les Campus labellisés en 2013 qui partageront leur expérience.
Cette belle dynamique, partagée avec les conseils régionaux, doit continuer sur sa lancée. Le ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche s’y emploiera, avec les ministères en charge de l’Économie et de l’Emploi. L’initiative sera poursuivie notamment par la publication au cours du premier trimestre 2015 d’un nouvel appel à projets.
J’adresse tous mes remerciements aux porteurs de projets, aux membres du Conseil national éducation économie, au groupe d’experts et aux services des ministères qui se sont impliqués pour assurer le succès de cette opération.
Najat Vallaud-Belkacem,
ministre de l’Éducation nationale,
de l’Enseignement supérieur
et de la Recherche
Les Campus des métiers et des qualifications : renforcer les coopérations entre le système éducatif et le monde économique, au service de l’insertion professionnelle des jeunes
Créés en 2013, les Campus des métiers et des qualifications sont des pôles d’excellence destinés à faciliter l’insertion des jeunes dans l’emploi. Ils offrent une gamme de formations professionnelles, technologiques et générales, dans un champ professionnel spécifique d’avenir. Regroupant en un même lieu et/ou en réseau des établissements d’enseignement secondaire et d’enseignement supérieur, ils associent, au sein d’un partenariat renforcé, des entreprises, des laboratoires de recherche, soutenus par les conseils régionaux et les entreprises.
Construits autour d’un secteur d’activité d’excellence correspondant à un enjeu économique national ou régional, les Campus des métiers et des qualifications proposent des filières de formation facilitant la mixité des parcours dans des lieux propices à l’innovation technologique et aux transferts de compétences.
Après une première vague de labellisation, la dynamique engagée s’est renforcée, aboutissant avec cette seconde vague de labellisation à une carte nationale de 31 Campus aux champs d’activités très divers. Un nouvel appel à projets est prévu cette année dans des filières d’avenir ou encore créatrices d’emploi.
Les Campus des métiers et des qualifications : l’enseignement professionnel innove
Les Campus des métiers et des qualifications ont été créés en 2013 par la loi de refondation de l’École pour valoriser l’enseignement professionnel et favoriser l’insertion professionnelle des jeunes.
Ils se définissent :
- comme des pôles d’excellence offrant une gamme de formations professionnelles, technologiques et générales, dans un champ professionnel spécifique pouvant accueillir différentes modalités de formation (statut scolaire, d’étudiant, apprentissage, formation continue) ;
- comme le moyen d’un partenariat renforcé entre l’État et les régions afin de mieux adapter l’offre de formation professionnelle aux besoins des territoires, d’anticiper et d’accompagner les mutations économiques.
Aujourd’hui, à l’issue de deux appels à projets, on peut affirmer que les Campus répondent pleinement à cette définition.
Une démarche exigeante de labellisation
À l’issue de la première vague de labellisation, le ministère a souhaité consolider l’identité des Campus en prenant un décret définissant le label “Campus des métiers et des qualifications” ainsi que la démarche de labellisation, en associant les ministres chargés de l’Enseignement supérieur, de la Formation professionnelle et de l’Économie à la décision de labellisation.
Le label, délivré pour quatre ans, permet d’identifier, sur un territoire donné, un réseau d’acteurs qui interviennent en partenariat pour développer une large gamme de formations, relevant de l’enseignement secondaire et de l’enseignement supérieur, en formation initiale ou continue, qui sont centrées sur un champ d’activités correspondant à un enjeu économique national ou régional.
Ainsi, parmi les critères retenus pour attribuer le label, figurent notamment :
- la cohérence de l’offre de formation avec les besoins de développement économique et la contribution du Campus des métiers et des qualifications au redressement productif ;
- le partenariat avec le tissu des entreprises locales et des laboratoires de recherche ;
- la diversité et la complémentarité de l’offre de formation (types et voies de formation, statuts des apprenants, parcours de formation) ;
- l’innovation et la prise en compte des problématiques de développement durable ;
- l’ouverture européenne ou internationale et la vie du Campus ;
- le pilotage et l’organisation du Campus.
Ce label est délivré à l’issue d’une démarche exigeante et rigoureuse, qui part d’une initiative locale associant État et régions :
- une demande de labellisation doit être déposée, conjointement par le Conseil régional et le ou les recteur(s) concernés, après avis du Conseil académique de l’éducation nationale (CAEN) et du Conseil régional de l’emploi, de la formation et de l’orientation professionnelles (CREFOP), auprès du ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche ;
- chaque dossier est examiné par un groupe d’experts puis transmis au Conseil national éducation économie (CNEE) qui remet ses propositions aux trois ministres concernés ( ministre de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche ; ministre de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique ; ministre du Travail, de l’Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social).
Les dossiers retenus pour une labellisation font l’objet d’un arrêté interministériel qui en dresse la liste.
Une dynamique en faveur du développement territorial et de l’emploi
Avec cette deuxième vague de labellisation, le territoire national compte aujourd’hui 31 Campus des métiers et des qualifications.
Chaque Campus des métiers et des qualifications offre une gamme variée de formations professionnelles, technologiques et générales, secondaires et supérieures, toutes en lien avec un secteur d’activité déterminé (l’aéronautique, les travaux publics, l’énergie, la filière bois, la plasturgie, la création numérique ou encore l’hôtellerie et le tourisme), porteur d’emplois, qui correspond à un enjeu économique national ou régional.
Il s’agit en effet de soutenir, par la formation, les politiques de développement économique et social sur les territoires régionaux et de développer les filières d’avenir, à l’innovation et aux problématiques de développement durable, comme l’illustrent les intitulés de nombreux Campus : “matériaux innovants” ou “intelligents”, “infrastructures intelligentes”, “industries créatives”, “énergies renouvelables”, “efficacité énergétique”, “écoconstruction”, “construction durable”, etc.
Grâce à la richesse de statuts et de formations proposés, de véritables parcours de formation se développent dans la perspective d’élever les niveaux de qualification et de faciliter l’insertion dans l’emploi.
Le lien renforcé avec le tissu économique local et avec les pôles de compétitivité, les clusters ou encore les plateformes technologiques favorise les transferts de technologie, la qualité de la formation en milieu professionnel et doit, à terme, améliorer l’insertion des jeunes et des adultes.
Il s’avère également que l’identité des Campus constitue un facteur favorable à une orientation positive des jeunes, qui s’ouvrent à une plus grande diversité des métiers en relation avec le champ d’activité.
Cette dynamique doit aussi se renforcer par le développement de capacités d’hébergement, par le déploiement d’activités sportives et culturelles ainsi que par une plus grande mobilité internationale pendant le parcours de formation.
Un essor qui va se poursuivre
Il s’agit aujourd’hui de poursuivre cette dynamique et, au premier trimestre de l’année 2015, un nouvel appel à projets sera lancé.
Mais il ne s’agit pas d’une “course en avant” : cette troisième vague de labellisation permettra de compléter la carte nationale qui se dessine en recherchant les équilibres territoriaux et sectoriels qui répondent aux besoins régionaux et nationaux de développement économique et social.
Il s’agit aussi de développer les Campus dans une logique plus continue et accompagnatrice. Ainsi, les projets de labellisation non retenus mais déjà de grande qualité, n’auront pas à attendre cette troisième phase pour être labellisés. Dans le même esprit, les régions et académies dont le projet n’a pas obtenu le label ou qui déposeront un nouveau projet pourront, si elles le souhaitent, bénéficier d’un accompagnement.
Il s’agit enfin de valoriser les démarches engagées par les Campus des métiers et des qualifications, en premier lieu en mutualisant les expériences – une réunion nationale est prévue à cet effet – et, en second lieu, en développant les effets d’entraînement sur les autres établissements de formation professionnelle, en particulier les lycées professionnels, comme l’ont déjà entrepris certaines académies.
Enfin, les Campus des métiers et des qualifications auront tout intérêt à mettre à profit le nouvel appel à projets lancé dans le cadre de l’action “partenariats pour la formation professionnelle et l’emploi” du programme d’investissements d’avenir (Pia). Ce programme vise en effet à accompagner les mutations économiques en encourageant le développement de solutions locales s’appuyant sur un engagement conjoint, notamment des acteurs économiques et des acteurs de la formation et de l’enseignement.
Le Campus de Bruay-La-Buissière : un nouveau pôle d’excellence et de formation aux métiers des travaux publics
Le lycée des métiers des travaux publics Jean-Bertin de Bruay-la-Buissière forme le pôle “nord” du Campus des métiers et des qualifications, nouveau site d’excellence et de référence nationale en matière de formation aux métiers des travaux publics.
Ce Campus des métiers résulte d’une association étroite avec les partenaires institutionnels locaux et régionaux, les établissements du secondaire et du supérieur de l’académie, la Fédération nationale des travaux publics (FNTP), ainsi que l’établissement jumeau du LMTP de Bruayla- Buissière, à savoir l’école privée Eglefor, école de la profession située à Égletons en région Limousin. Ce dernier établissement constitue le pôle “sud” du Campus.
Les projets pédagogiques développés et l’aménagement des structures (hébergement, internat, structures routières) sont financés dans le cadre du programme d’investissement d’avenir + validé en 2013. L’ensemble des opérations devra être terminé fin 2016 à la date d’échéance du programme.
Quelques repères démographiques et économiques
La population de la région Nord – Pas-de-Calais, qui s’élève à environ 4 millions d’habitants en 2008 ( quatrième rang national), demeure l’une des plus jeunes de France, avec près de 40 % de moins de 25 ans.
Le taux de chômage de la région est l’un des plus élevés de métropole et la situation est difficile surtout chez les jeunes, avec un taux de chômage des 15-24 ans de près de 10 points supérieur à la moyenne nationale. Le marché du travail régional est donc encore difficile et particulièrement défavorable pour les jeunes actifs.
La région reste aussi confrontée à un enjeu de renforcement du niveau de qualification de sa population, bien que la situation se soit beaucoup améliorée ces dernières années. Le niveau de qualification reste inférieur à la moyenne nationale et la région dénombre 6 000 jeunes qui sortent chaque année du système de formation sans qualification reconnue, justifiant la lutte contre le décrochage scolaire comme l’un des enjeux majeurs en région.
État des lieux et besoins du territoire en matière de travaux publics (TP)
Le secteur des travaux publics a connu une croissance exponentielle dans les années 2000 et ses prévisions de croissance restent positives malgré la crise. Les besoins en rénovation et construction d’infrastructures de transport et réseaux demeurent importants, comme l’attestent les projets du Grenelle de l’environnement (LGV, Canal Seine-Nord, transports propres, etc.), et la France est le premier exportateur de TP dans le monde.
Secteur traditionnellement employeur et “en tension”, le secteur des TP affiche donc de forts besoins en main d’œuvre :
- un besoin structurel de renouvellement et de rajeunissement de sa main-d’œuvre (la profession doit recruter 10 000 jeunes par an d’ici 2017 pour faire face aux départs massifs à la retraite)
- un besoin de renforcement des qualifications et d’adaptation des compétences pour accompagner l’évolution des métiers (nouvelles technologies, numérisation, priorités environnementales)
- des besoins conjoncturels qui restent importants au vu des perspectives de croissance et qui portent tant sur les postes d’encadrement que, surtout, sur les postes d’ouvriers qualifiés
383 entreprises ayant une activité de travaux publics ont leur siège dans la région Nord-Pas-d-Calais (550 établissements au total). Le secteur emploie 16 500 personnes, dont 11 500 ouvriers (soit 70 % des effectifs). Ces ouvriers sont majoritairement qualifiés (56 %), voire très qualifiés (18 %).
Sur ces 16 500 emplois, 11 000 salariés occupent des métiers de production, 3 350 de support technique et d’encadrement et 1 650 ont des emplois administratifs, commerciaux et de direction (chiffres de 2009 – SIPE). D’autre part, il ne faut pas oublier les salariés des entreprises de travaux publics ayant leur siège en dehors de la région. On peut raisonnablement estimer à 22 000 personnes le nombre de salariés des travaux publics travaillant dans le Nord – Pas-de-Calais.
Les travaux publics de la région sont également utilisateurs de l’intérim, même si la tendance est à la baisse : en 2008, 2 270 emplois intérimaires équivalents temps plein ont été mobilisés dans le secteur.
L’âge moyen des salariés est de 40 ans. Le vieillissement de la main d’œuvre nécessite de recruter pour en satisfaire le renouvellement.
Contexte du lycée des métiers et des travaux publics de Bruay-la-Buissière
Le Campus des métiers et des qualifications du lycée des métiers des travaux publics (LMTP) Jean-Bertin est localisé physiquement dans la commune de Bruay-la-Buissière, l’une des deux villes centre de la communauté d’agglomération de l’Artois (Artois Comm), en région Nord – Pasde- Calais. Il se déploie toutefois sur un périmètre stratégique plus large.
Au niveau régional, il sera le projet phare en lien avec le pôle d’excellence régional BTP mis en place par la région Nord – Pas-de-Calais en 2010, qui fédère les acteurs institutionnels, de la formation/ recherche et de la profession du BTP, afin de favoriser l’innovation et le développement technologique dans la filière. Ce pôle accueille des acteurs majeurs de la formation-recherche dans ce secteur autour du LMTP de Bruay-la-Buissière : l’université d’Artois de Béthune (IUT et faculté des sciences appliquées), les acteurs de la recherche spécialisés dans l’habitat, les infrastructures durables et les nouveaux matériaux (dont notamment le Laboratoire génie civil et géo-environnement (LGCGE), plus grand laboratoire régional, ainsi que deux fleurons du transfert de technologie (CRITT M2A et CREPIM).
Au niveau national, le projet se déploiera dans le cadre d’un partenariat innovant avec les établissements privés d’Églefor situés à Égletons en région Limousin. Le Campus se déploie sur une emprise foncière importante, d’un seul tenant, où il dispose de divers outils pédagogiques qui font sa spécificité, dont des ateliers de manœuvre, un parc d’engins et plus de 80 ha de terrains pour l’enseignement pratique sur des chantiers reconstitués. Il dispose aussi de structures d’accueil adaptées à un public en partie très captif, avec deux internats et un équipement de restauration avec cuisine de production qui peut assurer jusqu’à 1 600 repas / jour.
Il constitue un vivier essentiel de main d’œuvre et de compétences d’où le très fort soutien de la profession à ce projet de développement Ce positionnement unique lui assure un potentiel important d’apprenants (l’aire de recrutement est largement nationale) et des perspectives de développement à l’échelle internationale, la France étant le seul pays à avoir développé une offre de formation dédiée aux métiers des TP.
Surtout, dans la région Nord-Pas-de-Calais qui connaît des difficultés particulières en matière de chômage, le Campus permet de favoriser l’accès des jeunes à l’emploi à travers l’élévation du niveau des qualifications, en contribuant à lutter contre le décrochage et en favorisant l’insertion professionnelle.
Les 14 Campus des métiers et des qualifications déjà labellisés en 2013
Premier appel à projet en date du 6 mai 2013
Intitulé | Région / académie, lieu |
---|---|
Campus des métiers et des qualifications – Aéronautique | Provence – Alpes – Côte d’Azur / Aix-Marseille, Vitrolles |
Campus des métiers et des qualifications – Tourisme, hôtellerie et restauration | Provence – Alpes – Côte d’Azur / Nice, Nice |
Campus des métiers et des qualifications – Aérocampus | Aquitaine / Bordeaux, Latresne |
Campus des métiers et des qualifications – Aérocampus | Auvergne / Clermont-Ferrand, Clermont-Ferrand |
Campus des métiers et des qualifications – Aéronautique | Pays de la Loire / Nantes, Saint- Nazaire |
Campus des métiers et des qualifications – Travaux publics | Nord – Pas-de-Calais / Lille, Bruay-la-Buissière |
Campus des métiers et des qualifications – Habitat, énergies renouvelables et éco-construction | Languedoc-Roussillon / Montpellier, bassin nîmois |
Campus des métiers et des qualifications – Industrie des énergies | Basse-Normandie / Caen, Cherbourg |
Campus des métiers et des qualifications – Énergies et efficacité énergétique | Haute-Normandie / Rouen, Fécamp |
Campus des métiers et des qualifications – Grenoble Énergies Campus | Rhône-Alpes / Grenoble, bassin grenoblois |
Campus des métiers et des qualifications – Plasticampus | Rhône-Alpes / Lyon, bassin d’Oyonnax |
Campus des métiers et des qualifications – Métallurgie et plasturgie | Picardie / Amiens, Saint-Quentin |
Campus des métiers et des qualifications – Énergie et maintenance | Lorraine / Nancy-Metz, bassin de Thionville et vallée de la Fensch |
Campus des métiers et des qualifications – Création numérique, image et son | Île-de-France / Créteil, Paris, Versailles |
Les 17 Campus des métiers et des qualifications labellisés en 2015
Deuxième appel en date du 2 février 2014
Intitulé | Région / académie, lieu |
---|---|
Campus des métiers et des qualifications – Aéronautique | Poitou-Charentes / Poitiers, Poitiers |
Campus des métiers et des qualifications – Construction et efficacité énergétique | Alsace / Strasbourg, Illkirch |
Campus des métiers et des qualifications – Construction durable et éco-réhabilitation | Limousin / Limoges, Felletin |
Campus des métiers et des qualifications – Bois | Lorraine / Nancy-Metz, Épinal |
Campus des métiers et des qualifications – Procédés et matériaux innovants | Champagne-Ardenne / Reims, Charleville-Mézières |
Campus des métiers et des qualifications – Matériaux composites et plastiques | Lorraine / Nancy-Metz, Creutzwald |
Campus des métiers et des qualifications mécatronique – Matériaux intelligents, capteurs et objets connectés | Centre / Orléans-Tours, Bourges |
Campus des métiers et des qualifications – Textile, mode, cuir et design | Rhône-Alpes / Lyon et Grenoble, Lyon |
Campus des métiers et des qualifications – Gastronomie, hôtellerie et tourismes | Languedoc-Roussillon / Montpellier |
Campus des métiers et des qualifications – Savoie Mont-Blanc : métiers de l’hôtellerie et du tourisme de montagne | Rhône-Alpes / Grenoble, Thonon |
Campus des métiers et des qualifications – Génie civil et infrastructures intelligentes | Limousin / Limoges, Égletons |
Campus des métiers et des qualifications – e-Campus | Auvergne / Clermont-Ferrand |
Campus des métiers et des qualifications – Image numérique, industries créatives | Nord – Pas-de-Calais / Lille, Roubaix |
Campus des métiers et des qualifications – Design, matériaux et innovation | Auvergne / Clermont-Ferrand, Izeure |
Campus des métiers et des qualifications – Industries de la mer | Bretagne / Rennes, Brest |
Campus des métiers et des qualifications – Propulsions, matériaux et systèmes embarqués | Basse et Haute-Normandie, Caen et Rouen |
Campus des métiers et des qualifications – Biotechnologies et bio-industries | Haute-Normandie / Rouen, Évreux |
Photo © Philippe Devernay / MENESR
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je cherche du travail mes j’ai pas de diplôme j’ai 50 ans sans diplôme que fait pour trouver du travaille ouvrier agricole ou jardiner merci de répons
-Réponse à JOUSSET JEAN. Vous cliquez sur (Dossier Campus des Métiers et des Qualifications) juste au dessus des commentaires et vous aurez tous les détails des 17 nouveaux Campus (il Vous faut lire jusqu’au bout pour y accéder.
Pour ma fille de 15 ans pourriez vous me transmettre le document des 17 campus des métiers et qualifications avec le détail de chacun.
Avec mes remerciements.
Jean Jousset
des HUMAINS au travail !!!!!????? les actionnaires ne sont pas content !!!!!!!!!!!!!