Ce mardi 27 novembre, Najat Vallaud-Belkacem, la ministre des Droits des femmes a répondu à une question au gouvernement de la députée Catherine Coutelle sur les violences faites aux femmes, suite à l’annonce par le président de la République ce dimanche 25 novembre 2012 d’un plan global de lutte contre ces violences, dont l’ampleur a été chiffrée devant la représentation nationale : “tous les 3 jours une femme meurt sous les coups de son conjoint, une femme violée toutes les 8 minutes, l’année dernière 200000 femmes ont été victimes de violences en dehors du foyer et 600.000 au sein même des familles“.
Voici la réponse de la ministre :
“Madame la députée Catherine Coutelle, merci à vous de continuer à donner de la résonnance au-delà de la journée du 25 novembre. Vous avez bien raison car c’est tous les jours en France que l’on blesse, que l’on frappe, que l’on viole, voire que l’on tue des femmes et pas seulement le 25 novembre.
Merci donc de constater comme moi, que les violences faites aux femmes, plus qu’une succession de fait-divers, sont un fait social. Il nous faut le prendre comme tel si nous voulons l’appréhender et mieux lutter contre. Et mieux lutter contre, cela passe pas seulement par une mobilisation mais par un véritable sursaut collectif. Ce sursaut collectif, il viendra d’abord de l’Etat et des pouvoirs publics, c’est pour cela que le président de la République a annoncé un grand plan de protection des femmes victimes de violence, un plan global. Certaines de ces mesures annoncées trouveront leurs places dans la loi-cadre sur l’égalité entre les hommes et les femmes qui vous sera présentée ici au premier semestre 2013.
D’autres mesures seront d’applications immédiates. De quoi parle-t-on ? On parle d’un meilleur accueil pour les femmes victimes. Un meilleur accueil grâce à une meilleure formation des professionnels, grâce à la présence renforcée d’assistants sociaux dans les commissariats. Un meilleur accompagnement grâce au développement des unités médico-judiciaires sur le territoire. Une meilleure protection grâce à l’application effective de l’ordonnance de protection qui elle sera renforcée et à la généralisation du téléphone portable grand danger. Un meilleur hébergement aussi grâce au développement des places. Le président de la République a rappelé que sur les 5000 qui seront construites pendant le quinquennat près d’un tiers seront réservées à ce public spécifiquement. Mais au-delà de cette protection des femmes victimes, il faut de la prévention. Il faut éviter que les faits, les drames, les crimes, les délits se produisent, une meilleure prévention par une grande campagne d’information en 2013, meilleure prévention par l’éducation à l’égalité et à la sexualité dans les établissements scolaires, j’y tiens. Le Premier ministre dévoilera l’ensemble lors du Comité interministériel de ce vendredi 30 novembre.”
Tags : Najat Vallaud-Belkacem, QAG, Victimes de violence, violences faites aux femmes
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La violence est aussi monétaire, quand une majorité de citoyens vivent de subside de la charité publique, le RSA, et que dire des travailleurs handicapés qui ne sont toujours pas reconnus comme tel, parce qu’ils souffrent d’agnososie ?
Violence au travail, violence dans les espaces publiques, alors oui Najat, il y a faire, mais comment croit tu pouvoir t’y prendre si les statistiques mêmes sur lesquels tu te bases ne sont pas correct ?
Alors bon courage Najat, et ne te limite pas uniquement à la violence faites aux femmes, sinon ils t’enfermeront dans ce carcan pour que tu ne puisses plus agir.
Il faut clairement mettre un grand coup de barre à gauche pour ce gouvernement, pour que les CRS arrêtent leurs intimidation à Notre Dames des Landes, que les violeurs multirécidivistes dans l’affaire des femmes en banlieues soient lourdement condamnés au lieu d’avoir été relaxé comme ça a été le cas récemment.
Il faut clairement mettre un grand coup de barre à gauche pour ce gouvernement, pour que les CRS arrêtent leurs intimidation à Notre Dames des Landes, que les violeurs multirécidivistes dans l’affaire des femmes en banlieues soient lourdement condamnés au lieu d’avoir été relaxé comme ça a été le cas récemment.
La violence est aussi monétaire, quand une majorité de citoyens vivent de subside de la charité publique, le RSA, et que dire des travailleurs handicapés qui ne sont toujours pas reconnus comme tel, parce qu’ils souffrent d’agnososie ?
Violence au travail, violence dans les espaces publiques, alors oui Najat, il y a faire, mais comment croit tu pouvoir t’y prendre si les statistiques mêmes sur lesquels tu te bases ne sont pas correct ?
Alors bon courage et bonne chance.
Cher Najat,
Ce que tu fais c’est bien ça ira toujours dans le bon sens, mais ce n’est pas comme ça qu’on lutte contre la violence.
Pour bien lutter contre la violence, il faut la comprendre et l’avoir vécue, aujourd’hui c’est la société dans son ensemble qui est violente, si tu “déclares la guerre” à la violence, cela ne fera que l’alimenter.
La première des violences n’est pas les coups et traces visibles que subissent les femmes, elle commence par l’agression constante et sans répits des institutions, des employeurs, des médias, qui nous font subir à tous et pas seulement aux femmes, des humiliations, des brimades qui sont autant de forme de harcèlement moral.
De combien de caractère dispose t’on pour poster un commentaire censuré ici ?
Cher Najat,
Il faut clairement mettre un grand coup de barre à gauche pour ce gouvernement, pour que les CRS arrêtent leurs intimidation à Notre Dames des Landes, que les violeurs multirécidivistes dans l’affaire des femmes en banlieues soient lourdement condamnés au lieu d’avoir été relaxé comme ça a été le cas récemment.
La violence est aussi monétaire, quand une majorité de citoyens vivent de subside de la charité publique, le RSA, et que dire des travailleurs handicapés qui ne sont toujours pas reconnus comme tel, parce qu’ils souffrent d’agnososie ?
Violence au travail, violence dans les espaces publiques, alors oui Najat, il y a faire, mais comment croit tu pouvoir t’y prendre si les statistiques mêmes sur lesquels tu te bases ne sont pas correctes ?
((c’est quoi la taille limite pour les commentaires ?))
Cher Najat,
Ce que tu fais c’est bien ça ira toujours dans le bon sens, mais ce n’est pas comme ça qu’on lutte contre la violence.
Pour bien lutter contre la violence, il faut la comprendre et l’avoir vécue, aujourd’hui c’est la société dans son ensemble qui est violente, si tu “déclares la guerre” à la violence, cela ne fera que l’alimenter.
La première des violences n’est pas les coups et traces visibles que subissent les femmes, elle commence par l’agression constante et sans répits des institutions, des employeurs, des médias, qui nous font subir à tous et pas seulement aux femmes, des humiliations, des brimades qui sont autant de forme de harcèlement moral.
Il faut clairement mettre un grand coup de barre à gauche pour ce gouvernement, pour que les CRS arrêtent leurs intimidation à Notre Dames des Landes, que les violeurs multirécidivistes dans l’affaire des femmes en banlieues soient lourdement condamnés au lieu d’avoir été relaxé comme ça a été le cas récemment.
La violence est aussi monétaire, quand une majorité de citoyens vivent de subside de la charité publique, le RSA, et que dire des travailleurs handicapés qui ne sont toujours pas reconnus comme tel, parce qu’ils souffrent d’agnososie ?
Violence au travail, violence dans les espaces publiques, alors oui Najat, il y a faire, mais comment croit tu pouvoir t’y prendre si les statistiques mêmes sur lesquels tu te bases ne sont pas correct ?
Alors quoi qu’il en soit, continue dans ton action, sans te décourager malgré l’ampleur de la tache, et continue a réagir de la même façon que tu le fais quand un journaliste te pose des questions sur l’UMP, en leur disant que l’état de l’opposition en France est à l’image du pays.
Bonne continuation, mais n’oublie pas, à gauche toute …
Cher Najat,
Ce que tu fais c’est bien ça ira toujours dans le bon sens, mais ce n’est pas comme ça qu’on lutte contre la violence.
Pour bien lutter contre la violence, il faut la comprendre et l’avoir vécue, aujourd’hui c’est la société dans son ensemble qui est violente, si tu “déclares la guerre” à la violence, cela ne fera que l’alimenter.
La première des violences n’est pas les coups et traces visibles que subissent les femmes, elle commence par l’agression constante et sans répits des institutions, des employeurs, des médias, qui nous font subir à tous et pas seulement aux femmes, des humiliations, des brimades qui sont autant de forme de harcèlement moral.
Il faut clairement mettre un grand coup de barre à gauche pour ce gouvernement, pour que les CRS arrêtent leurs intimidation à Notre Dames des Landes, que les violeurs multirécidivistes dans l’affaire des femmes en banlieues soient lourdement condamnés au lieu d’avoir été relaxé comme ça a été le cas récemment.
La violence est aussi monétaire, quand une majorité de citoyens vivent de subside de la charité publique, le RSA, et que dire des travailleurs handicapés qui ne sont toujours pas reconnus comme tel, parce qu’ils souffrent d’agnososie ?
Violence au travail, violence dans les espaces publiques, alors oui Najat, il y a faire, mais comment croit tu pouvoir t’y prendre si les statistiques mêmes sur lesquels tu te bases ne sont pas correct ?
Alors quoi qu’il en soit, continue dans ton action, sans te décourager malgré l’ampleur de la tache, et continue a réagir de la même façon que tu le fais quand un journaliste te pose des questions sur l’UMP, en leur disant que l’état de l’opposition en France est à l’image du pays.
Enfin!!!! j’attend cela depuis longtemps, je fais partie de ces femmes qui n’en peuvent plus… on a pas toujours besoin de marques visibles a l’oeil nu, pour être démolie par un être malsain….
Combien de fois je me suis demandé si la justice défendait les victimes ou les escrocs!!! hé oui j’en suis arrivé là, et je ne suis pas la seule, bien manipulé par un perver, je suis passé de victime a coupable, pour me protéger, parce que les gendarmes de mon village refusaient de prendre mes dépositions meme avec des certificat médicaux a l’appui, je n’avais meme plus la force de me battre, j’étais malade, et je suis malades depuis des années, et je n’ai pas les moyens financiers pour me défendre….je subis encore aujourd’hui ça pression malgré que je sois séparée depuis un an…..
je demande que nous soyons entendu et non démolie comme je me suis sentie meme avec les gendarmes, et que la justice prenne bien en compte ce qui ce passe avant qu’il y est une catastrophe
Merci de vouloir faire bouger tout cela.
La société tout entière -femmes et hommes entretient la domination masculine.L’historique des pouvoirs est encore en place d
Contre les violences faites aux femmes, il faut une rupture avec la loi du silence. “Oumerta social” inaccéptable.
le symbole de la France est Marianne.
frappé une femme c’est atteindre toute la république.
C’est en souvenir du 25 novembre 1960, où trois femmes dominicaines, les sœurs Mirabal furent assassinées sur les ordres du chef de l’état dominicain, que, le 19 octobre 1999, lors de la 54e session de l’Assemblée générale des Nations Unies, les représentants de la République dominicaine et 74 États membres ont présenté un projet de résolution visant à faire du 25 novembre, la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes et proposé que cette journée soit consacrée à des activités destinées à sensibiliser l’opinion publique sur la question de la violence à l’égard des femmes. La résolution 54/134 a finalement été adoptée le 17 décembre 1999.
Violences faites aux femmes ! Violences faites aux hommes ! …
Etant un homme, je ne peux ressentir ce qu’une femme peut ressentir face à une violence physique venant d’un homme mais je peux quand même le concevoir et surtout parfaitement connaître la réalité de ces violences et leur gravité.
C’est la raison pour laquelle, je suis tout à fait d’accord pour lutter contre les violences faites aux femmes.
Je m’étonne cependant de la manière dont se fait cette lutte.
En effet si l’on est d’accord sur le fait qu’il doit y avoir égalité en droits et en dignité entre l’homme et la femme, comment se fait-il qu’il ne soit rien dit sur les violences faites aux hommes ?
Celles-ci seraient-elles davantage acceptables ?
Trouverait-on normal que la journée des déportés ne concerne que les déportés hommes ? …
Même si les violences physiques faites aux femmes étaient plus nombreuses que celles faites aux hommes, est-ce une raison pour « oublier » toutes les violences faites aux hommes ?
Ou alors, étant donné que les violences faites aux femmes afghanes sont plus nombreuses que les violences faites aux femmes françaises, serait-il normal que l’on ne dénonce pas ces dernières ? …
Si les violences physiques d’un homme sur une femme sont considérées plus destructrices que les violences physiques d’une femme sur un homme, cela veut dire que l’on accepte la différence des sexes. Ne faudrait-il pas alors, toujours en respectant la différence des sexes, prendre en compte le fait que les violences psychiques d’une femme sur un homme puissent être plus destructrices que les violences psychiques d’un homme sur une femme ?
La loi qui prend en compte la fragilité physique des femmes est une loi de discrimination positive qui peut être acceptée comme totalement démocratique. Mais la loi ne devient-elle pas sexiste quand non seulement elle ne tient pas compte de la fragilité psychique des hommes mais ignore et donc autorise toutes les violences dont ils peuvent être victimes ?
Soit l’homme et la femme sont à égalité (si la différence des sexes est déniée) et la loi est la même pour les hommes et pour les femmes, soit la différence des sexes n’est pas déniée et il y a égalité en droits : la loi tient alors compte de la différence pour protéger suivant les circonstances davantage les femmes ou davantage les hommes…
Dans l’état actuel, la loi est malheureusement une loi sexiste inacceptable en démocratie !
Jean GABARD
Auteur de « Le féminisme et ses dérives – Rendre un père à l’enfant-roi » Les Editions de Paris. Jeangabard.com
Contre les violences faites aux femmes et aux hommes !
Avec la libération de la femme et le culte de la spontanéité, y a-t-il, encore aujourd’hui beaucoup d’hommes qui n’ont jamais été insultés, voire même giflés, par une femme ?
La réponse risque d’être difficile à donner : les études ne concernent souvent que les violences faites aux femmes ! …
Mais peu importe, il n’est pas question de comparer des chiffres. Ces derniers, d’ailleurs, sont-ils si importants par rapport à la gravité du sujet, surtout s’il s’avère que les mêmes violences n’ont pas forcément des effets identiques sur les hommes et sur les femmes ?
Les violences physiques paraissent en effet beaucoup plus graves pour une femme que pour un homme. Les menaces seules, pour elle, sont déjà totalement destructrices.
Pour un homme, les violences physiques ne sont pas insignifiantes mais ne l’atteignent guère autrement que physiquement …
Il n’en est cependant pas de même pour les insultes. Venant d’une femme, celles-ci l’ébranlent et il ressent comme un cataclysme qui le renvoie à sa castration psychique primaire, quand il s’est aperçu qu’il ne pourrait plus être comme celle qui est pour lui, sa référence première et « toute-puissante » : sa maman. Son impuissance devant ce qu’il vit comme un nouveau rejet, décuple sa colère et lui donne souvent envie d’utiliser ce qu’il possède : sa force physique.
Si la femme frappe la première, il est plutôt soulagé ! Les coups replacent le conflit dans un domaine connu par lui et où il a l’assurance de pouvoir répondre s’il le souhaite. «L’adversaire » revient alors « à sa portée », sur un terrain qu’il maîtrise. Souvent même, il n’éprouve plus le besoin de riposter où s’il le fait c’est pour la forme, pour sauver son honneur mais pas parce qu’il se sent menacé.
Une femme ne peut ressentir les effets de sa violence psychique chez un homme, pas plus qu’un homme ne peut ressentir les effets de sa violence physique chez une femme !
C’est la raison pour laquelle les hommes (niant la différence des sexes), ont pu penser (et certains le pensent encore) que leurs violences physiques sur une femme ne pouvaient être très graves, puisque pour eux, celles d’une femme, sur eux, ne l’étaient pas !
Aujourd’hui, certaines femmes n’ont-elles pas à leur tour tendance à croire que leur agression verbale d’un homme n’est qu’une affaire bénigne, parce que sur elles, la violence des mots peut être tolérable et n’est aucunement comparable aux violences physiques d’un homme ? …
Ainsi par négation de la différence des sexes, des sexistes hommes ont tendance à dire que les femmes sont « inférieures » parce que fragiles physiquement et des femmes, toujours par négation de la différence des sexes, ont tendance à juger les hommes « malades » parce que fragiles psychiquement.
Dans notre société égalitariste, l’emploi du mot « malade » paraît plus correct que le mot « inférieur » mais il est pourtant plus pervers. En effet, il laisse supposer que l’homme pourrait se soigner et donc qu’il est responsable de sa fragilité psychique qui devient alors un défaut. Ainsi la dénégation de la différence des sexes permet de faire croire à une simple dénonciation des problèmes de certains hommes alors qu’il y a tout autant une infériorisation de l’homme différent et donc, là aussi, SEXISME !
Alors, pour lutter contre les violences faites aux femmes et aux hommes, il faut certes les condamner mais ne faudrait-il pas aussi commencer par s’efforcer de respecter l’Autre différent ?
Pour lutter contre les violences faites aux femmes et aux hommes, et respecter l’autre, ne faudrait-il pas aussi sortir de la facilité qui consiste à considérer le sexe opposé « inférieur » ou « malade » et s’efforcer de se comporter en adulte assumant nos différences, nos manques et notre « non toute-puissance » ?
Pour lutter contre les violences faites aux femmes et aux hommes, pour respecter l’autre et assumer la différence, ne faudrait-il pas aussi sortir d’une idéologie dépassée ?
Le rêve d’un droit à une égalité impossible a permis, dans les pays occidentaux, de faire admettre la légitimité de l’égalité en droits. Celle-ci a encore des détracteurs qui nous obligent à ne pas baisser la garde, mais le maintien de l’utopie égalitariste n’entretient-il pas aujourd’hui, le ressentiment de femmes envers les hommes et d’hommes envers les femmes au lieu de favoriser le respect et le « vivre ensemble » ? …
Jean GABARD
auteur de « Le féminisme et ses dérives. Rendre un père à l’enfant-roi ». Les Editions de Paris. Jeangabard.com
Voir de jeunes femmes comme vous issues de l’immigration à de tels postes de responsabilités me remplit de joie. Pendant, mon séjour à Nice, j’ai suivi avec intérêt vos interventions à la radio et à la TV. Quelle maitrise des dossiers et quelle conviction!
La place de la France dans le Global Gender Gap Report 2012 fait par le World Economic Forum voit la France à la 57ème place, précédée de plusieurs pays moins développés y compris d’Afrique subsaharienne. J’espère que par votre travail, cette position va s’améliorer dans les prochaines années.