Journée internationale des droits des femmes : toutes nos actions à l’École, dans l’Enseignement supérieur et la Recherche

La mobilisation du ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche pour l’égalité est encore et toujours nécessaire.
Retrouvez ci-dessous la feuille de route et les actions du ministère pour faire progresser l’égalité filles-garçons et femmes-hommes.
Vous pouvez aussi télécharger le dossier de présentation de nos actions ici.

Au sommaire :

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Feuille de route du Ministère

La feuille de route 2015 pour l’égalité entre les femmes et les hommes constitue la 3e édition de l’exercice initié en 2012 pour structurer le dialogue interministériel autour des enjeux de l’égalité entre les femmes et les hommes. Elle est aussi la première feuille de route qui couvre le champ de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Elle accompagne donc – en cohérence avec la convention interministérielle conclue le 7 février 2013 – les actions entreprises pour assurer une intégration plus forte des stratégies et des actions entre les acteurs du champ scolaire et les acteurs de l’enseignement supérieur et de la recherche.

Au-delà du bilan de la très riche action du ministère en 2014, cette feuille de route 2015 trace de nouvelles orientations pour inscrire davantage encore le ministère comme un acteur majeur de la stratégie intégrée de l’égalité mise en place par le Gouvernement depuis 2012. Au cours de l’année qui vient, les impulsions suivantes seront données.

  • Dans le domaine des ressources humaines, le ministère poursuivra l’intégration des indicateurs du Rapport de situation comparée (RSC) dans le bilan social du ministère. Il proposera, dans le cadre du dialogue social avec les organisations syndicales, des actions en cohérence avec le protocole d’accord pour l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes du 8 mars 2013. L’accent sera également mis cette année sur la formation des personnels à l’égalité.
  • Dans le domaine de l’enseignement scolaire, la déclinaison des outils pour l’égalité entre les filles et les garçons à l’école sera poursuivie dans les académies, avec l’appui des structures de pilotage renforcées, et permettra d’amplifier l’action du ministère en faveur de l’égalité entre filles et garçons, du respect mutuel entre les élèves et contre les comportements sexistes et les violences sexuelles. La mise en place cette année de l’enseignement moral et civique, du parcours d’éducation artistique et culturelle et du parcours individuel d’information, d’orientation et de découverte du monde économique et professionnel permettra également de mieux prendre en compte dans les enseignements la question de l’égalité. La création au 1er janvier 2015 du service public régional de l’orientation est un levier supplémentaire pour favoriser la mixité des métiers, en cohérence avec les actions mises en place dans les établissements.
  • Dans le domaine de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, la politique de prise en compte systématique de l’égalité entre les femmes et les hommes initiée par la loi du 22 juillet 2013 sera poursuivie. Elle s’appuiera notamment sur le réseau des chargés de mission à l’égalité dont l’action sera pleinement intégrée avec celle du ministère pour assurer une articulation efficace entre politiques d’établissements et orientations nationales. L’action de prévention et de lutte contre les stéréotypes et les violences sexuelles sera amplifiée via des plans de formation et de communication. Enfin, le ministère poursuivra sa politique de soutien au développement des savoirs scientifiques sur le genre et à la transmission des résultats de ces recherches, notamment afin de mieux cibler les actions et mesures en faveur de l’égalité de toutes et de tous dans le monde académique et, plus largement, dans la société tout entière.

Égalité professionnelle pour les agents du ministère

Le ministère accorde une importance toute particulière au respect des principes fixés par la loi du 12 mars 2012 modifiée par la loi du 4 août 2014 sur l’égalité réelle entre les femmes et les hommes.

Il s’est ainsi engagé dans une politique volontariste en matière de nomination aux emplois d’encadrement supérieur, particulièrement s’agissant des emplois à la discrétion du gouvernement (recteurs, rectrices et directeurs, directrices d’administration centrale), visant à atteindre par anticipation les objectifs fixés par la loi du 12 mars 2012 modifiée. Cette dernière prévoit en effet l’instauration de quotas de nominations de personnes de chaque sexe à hauteur de 20 % en 2013, puis 30 % en 2015-2016 et 40 % dès 2017. Or, sur les neuf nominations de recteurs et de directeurs d’administration centrale intervenues en 2014, quatre ont concerné des femmes, soit un taux de 44 % largement supérieur à l’objectif de 20 % fixé par la loi pour la période considérée. Ces résultats particulièrement significatifs se doublent par ailleurs d’un réel effort sur les primo-nominations, au nombre de cinq, dont trois femmes (soit un taux de 60 %).

De la même façon, un effort particulier a été porté sur le rééquilibrage entre les femmes et les hommes dans les jurys de concours de recrutement et d’avancement de grade. L’objectif, fixé par la loi du 12 mars précitée, d’une proportion minimale de personnes de chaque sexe parmi les membres des jurys de concours et des comités de sélection de 40 % à compter du 1er janvier 2015 est systématiquement rappelé dans le guide pratique destiné aux présidents de jury édité à l’occasion de chaque concours. Cette politique offensive en matière de parité des jurys de concours permet d’ores et déjà d’atteindre la parité pour de nombreux corps de personnels :

  • pour les corps d’ingénieurs et de personnels techniques, de recherche et de formation, les jurys sont composés d’environ 52 % d’hommes et de 48 % de femmes ;
  • pour les corps de personnels administratifs, sociaux, de santé et de bibliothèque, les jurys sont composés d’environ 43 % d’hommes et 57 % de femmes ;
  • pour les personnels enseignants, tous concours confondus, les jurys de recrutement des personnels enseignants du second degré sont composés de 48,3 % de femmes et 51,7 % d’hommes. Ces taux masquent toutefois des disparités dans certaines disciplines de nature scientifique et technique ;
  • dans l’enseignement supérieur (corps des enseignants chercheurs), des efforts significatifs ont été réalisés malgré les difficultés soulevées par la faible part des femmes dans certaines disciplines. Ainsi, pour les trois disciplines ouvertes à l’agrégation en 2014-2015 (droit privé, science politique et sciences de gestion), les jurys respectent parfaitement la proportion de 40 % des femmes, deux de ces trois jurys étant par ailleurs présidés par une femme ;
  • quant à la composition des jurys de recrutement pour les personnels d’encadrement, elle est parfaitement équilibrée (50 % de femmes et 50 % d’hommes).

Filles et garçons sur le chemin de l’égalité : principaux constats

Les garçons réussissent toujours moins bien que les filles à l’école même si les écarts se resserrent parfois

  • Ils ont plus souvent des difficultés en lecture : en 2013, sur l’ensemble des jeunes ayant participé à la Journée défense et citoyenneté, 11 % des garçons ont des difficultés de lecture contre 8 % des filles, soit un écart de 3 points. En 2005, l’écart était de 6 points.
  • Ils accèdent moins souvent au baccalauréat : en 2013, la proportion de bacheliers dans une génération s’élève à 70 %. Celle des bachelières approche les 78 %, soit un écart de près de 8 points en faveur des filles. En 2000, cet écart était de 12 points (57 % contre 69 %)
    .
  • Ils obtiennent moins fréquemment le baccalauréat avec une mention « bien » ou « très bien », notamment en série S : en 2013, la proportion de mentions « bien » ou « très bien » parmi les admis au baccalauréat S s’élève à 33 % pour les garçons et 40 % pour les filles. La différence entre garçons et filles s’est même creusée par rapport à la session 2000 où elle n’était que de 3 points (13 % contre 16 %).
  • Ils sortent plus souvent de formation initiale sans diplôme : en moyenne sur 2010, 2011 et 2012, 18 % des hommes sortis du système éducatif sont au plus titulaires du brevet contre 12 % des femmes. Cette différence était de même ampleur sur la période 2003-2005.

Les filles n’ont pas les mêmes parcours scolaires que les garçons

  • Elles s’orientent davantage vers l’enseignement général et technologique : 64 % des filles scolarisées en troisième en 2011 ont continué en 2012 en seconde générale et technologique contre 53 % des garçons. Cette propension à poursuivre dans cette voie s’est accrue de la même manière pour les filles et les garçons (+5 points par rapport à 2006)
  • Elles optent toujours moins souvent pour les filières scientifiques : bien qu’en augmentation de 8 points depuis 2000, la part des filles en terminales scientifiques (S, STI2D et STL) atteint à peine 42 % en 2013.
  • Dans l’enseignement professionnel, les filles sont quasiment absentes des spécialités de la production : 14 % en 2013.

Ces différences persistent dans l’enseignement supérieur

  • Les femmes sont nettement plus souvent diplômées de l’enseignement supérieur : en 2013, la part de diplômés de l’enseignement supérieur parmi les 30-34 ans s’élève à 49 % pour les femmes contre 40 % pour les hommes. En 2000, ces proportions respectives étaient de 29 % et 26 %.
  • Elles demeurent très minoritaires parmi les ingénieurs, même si leur part a progressé de 23 % en 2000 à 29 % en 2012, et parmi les docteurs en sciences : en 2012, 38 % des titulaires d’un doctorat scientifique sont des femmes. Elles étaient 35 % en 2005.

À diplôme équivalent, à la sortie du lycée ou de l’apprentissage, les filles s’insèrent moins bien dans l’emploi que les garçons, surtout dans le domaine de la production.

La Journée internationale des droits des femmes dans l’enseignement scolaire

L’ensemble des académies est engagé dans la mise en oeuvre du plan d’action pour l’égalité entre les filles et les garçons à l’école. Les actions entreprises tout au long de l’année s’inscrivent en outre dans le cadre de la Convention interministérielle pour l’égalité dans le système éducatif, qui a fait l’objet de déclinaisons régionales. En termes de formation des personnels, de production de ressources pour agir dans la classe ou à l’échelle de l’établissement, dans le cadre de la vie scolaire et avec l’ensemble des partenaires, les initiatives sont nombreuses. Les personnes chargées de mission pour l’égalité, dans chaque académie, en assurent la coordination et la valorisation. En voici quelques exemples, qui ne rendent que très partiellement compte du foisonnement des initiatives menées dans les académies.

Besançon

  • (In)égalités Homme-Femme” : projet du collège Pierre-Vernotte de Moirans-en-Montagne dans le Jura.

Un projet interacadémique (Besançon, Créteil, Lille), pluridisciplinaire, en collaboration avec l’Institut des sciences et techniques de l’Antiquité.

Bordeaux

Créteil

Grenoble

Lyon

  • L’opération “Déployons nos elles“, dans quinze collèges de l’académie de Lyon.

Montpellier

Nantes

  • Projet “Mix’cité” de la cité scolaire Réaumur-Buron, à Laval.
Ce projet a reçu, en 2014, le premier prix régional de la mixité dans la formation initiale.

Nice

Nouvelle-Calédonie

  • Après la troisième” : guide pour l’orientation, qui présente les métiers dans une perspective de mixité.

Reims

  • Concours “Visuel de l’égalité“, ouvert aux lycéen(ne)s et apprenti(e)s champardennais : une action menée en partenariat avec le conseil régional, pour créer le logo de l’observatoire régional de l’égalité entre les femmes et les hommes, mis en place en juin 2012.

Rennes

  • Une exposition au collège des Ormeaux à Rennes sur le féminisme rennais d’hier à aujourd’hui, en partenariat avec l’association Histoire du féminisme à Rennes.
  • Une Semaine de l’égalité au collège de Saint-Brieuc.
  • Une Quinzaine de l’égalité au lycée professionnel de Saint-Brieuc, avec une exposition notamment, élaborée en lien avec les archives départementales.

La Réunion

  • Avec l’association Chancegal : prix “Faham/Infâme” sur les stéréotypes dans les publicités réunionnaises ; opération « Cinétoil’égalité » (le jury se réunit les 4 et 5 mai 2015).
  • En éducation à la sexualité : un nouvel outil, labellisé par l’instance régionale de prévention et d’éducation à la santé, “Zizi, Zezette zistoir l’amour“, pour une prise de conscience du corps, de la sexualité et de la grossesse ( le taux de recours à l’IVG chez les mineures est deux fois supérieur à celui de la métropole).
  • Création du “prix de la mixité“, expérimentation du nouveau parcours individuel d’information d’orientation et de découverte du monde économique et professionnel.

L’égalité filles/garçons dans l’académie de la Réunion

Rouen

Strasbourg

  • Femmes et (r) évolution“, une exposition sur la condition des femmes de 1960 à nos jours. En circulation dans les établissements scolaires.
  • Les métiers n’ont pas de sexe“, un concours annuel pour promouvoir la mixité des métiers.

La Journée internationale des droits des femmes dans l’Enseignement supérieur et la Recherche

Dans les universités

Université Bordeaux-Montaigne

Mardi 10 mars

  • Conférence débat : L’égalité entre les femmes et les hommes dans l’enseignement supérieur et la recherche, amphithéâtre Renouard.
  • Signature publique et officielle de la Charte sur l’égalité entre les femmes et les hommes à l’université, amphithéâtre Renouard.
  • Deux Conférences “Corps, genre et inégalités” :
    – Pourquoi les femmes sont-elles plus petites que les hommes ? autour du documentaire de Véronique Kleiner (Arte), université Victor-Segalen, place de la Victoire.
    – 40 ans après le droit à l’IVG : où en sont l’avortement et la contraception ?
Université de Bordeaux

Mardi 10 mars

Conférences et débats autour du thème “Où en est l’égalité entre les femmes et les hommesà l’université de Bordeaux ?”.

Université de Tours
  • Samedi 7 mars de 14 h à 18 h : Journée d’études “La santé au féminin : gestes et savoirs” à l’université François-Rabelais de Tours (CESR) et au CHRU de Tours.
  • Samedi 7 mars, de 20 h 30 à minuit : Concert caritatif (bénéfices reversés à des associations militant contre les violences faites aux femmes).
  • Lundi 9 mars, de 14 h à 18 h : Journée d’études pluridisciplinaire (histoire et littérature) “Genre et guerre, perspectives franco-allemandes“.
  • Mardi 10 mars, à 18h : Projection du documentaire “Histoire d’A.”,de Charles Belmont et Marielle Issartel, (1973) en présence de la réalisatrice.
  • À partir du lundi 9 mars : Exposition “because I am a girl” proposée par l’ONG Plan France.
Université Versailles Saint-Quentin
  • Vendredi 6 mars : Table ronde sur le thème des femmes dans la Recherche, organisée autour de portraits de l’exposition Infinités plurielles.
Université de Haute-Alsace
  • Mercredi 11 mars : Conférence Égalité femmes/hommes en Alsace et ailleurs à 17 h 30.
Université d’Angers
  • Présentation d’un webdocumentaire “Femmes dans un monde d’hommes : les élues du Maine-et-Loire” par le groupe de recherche Gedi (Genre et discriminations sexistes et homophobes).
Université de Bretagne-sud (UBS)
  • Journée grand public et sensibilisation pour les personnels, autour de trois plafonds de verre : femmes et science, femmes chefs d’entreprise, femmes et politique, femmes dans un monde d’hommes !
Université d’Évry-Val-d’Essonne
  • Vendredi 6 mars : Conférence-débat-buffet de la parité autour de la présentation du premier bilan statistique parité dans l’université d’Évry et lancement du concours photo “Où sont les femmes, où sont les hommes, à l’Université d’Évry ?”.
Université Sorbonne Paris Cité
  • Ciné Diderot # 25 : projection du film “De rouille et d’os” de Jacques Audiard, suivie d’un débat “Femmes en situation de handicap : un (double) parcours de combattante ?”.
  • Du 25 au 27 mars 2015 : Colloque international “Les femmes dans le monde académique”
Université du Maine
  • Du 23 au 27 mars : Semaine de culture scientifique sur le thème “Quand la science se donne un genre”.
Université de Lille-2
  • Du 9 au 31 mars 2015 : exposition “Le sort de la jeune fille africaine – les femmes violées du Kiviu”.
  • Mardi 10 mars à 17 h 30 : Projection du film anglo-camerounais Sisters in Law de Kim Longinotto et Florence Ayisi, suivie d’un débat.
Université Lille-3

Du 9 mars au 13 avril :

  • Exposition “Les Découvreuses anonymes”, portraits de femmes qui ont marqué l’histoire des sciences, mais qui restent trop souvent méconnues.
  • Jeudi 26 mars 2015 : Journée d’études “Femmes en résistances”.
  • Jeu participatif de sensibilisation.
Université de Picardie Jules-Verne
  • Concours étudiant : Du Buzz contre les stéréotypes – Contre les stéréotypes, faisons preuve de créativité.
  • Théâtre Forum sur la thématique des stéréotypes.
Université Paris-Est Créteil
  • Mercredi 11 mars : Journée d’études sur le genre axée sur les recherche des étudiant(e)s de master.
Université Paris Descartes

Série de conférences :

  • Jeudi 5 mars, de 15 h 45 à 17 h 45 – Margaret Maruani : Marché du travail et genre en Europe, 1960-2010
  • Jeudi 12 mars, de 15 h 45 à 17 h 45 – Patricia von Münchow : “Genre, parentalité et analyse du discours. Regards contrastifs France-Allemagne-Etats-Unis”
  • Vendredi 13 mars de 10 h à 12 h – Virginie Bonnot : “Comment les stéréotypes de genre influencent-ils nos comportements ?”
  • Jeudi 2 avril de 13 h 30 à 15 h 30 – Béatrice Lecestre-Rollier : “Genre et anthropologie : la question des universaux”
  • Mardi 7 avril de 15 h 45 à 17 h 45 – Séverine Lemière : “Inégalités de salaire et revalorisation des emplois à prédominance féminine”
Université de Franche-Comté

Du 2 au 31 mars 2015

Lundi 2 mars : Soirée autour de l’exposition “Les Découvreuses anonymes”.

Lundi 9 mars :

  • Journée “Paroles de femmes d’ici et d’ailleurs” autour de témoignages d’étudiantes/stagiaires internationales au Centre de linguistique appliquée de l’UFC et du regard qu’elles portent sur l’égalité dans notre pays et dans leurs pays respectifs.
  • Inauguration du Mur de l’égalité.
  • Accueil de Lycéen(ne)s et Collégien(ne)s au sein de l’UFR des sciences du langage de l’Homme et de la société par une équipe de recherche autour de la place des femmes dans l’Antiquité.

Jeudi 26 mars : Rencontre à Radio-Campus avec des Pépites de l’UFC, Étudier et entreprendre au féminin avec la participation de la coordinatrice du Pépite Bourgogne Franche-Comté.

Dans les organismes de recherche

Musée de l’histoire de l’immigration
  • Vendredi 6 mars : Visite guidée sur le thème des femmes dans l’immigration, au sein de l’exposition permanente Repères.
CNRS
  • Jeudi 12 mars : Colloque “Agir ensemble pour l’égalité professionnelle : bilan et perspectives du plan d’action du CNRS”, avec la présentation du plan d’action pour l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes au CNRS adopté par l’organisme en 2014, de ses 14 objectifs prioritaires, de ses avancées jusqu’à maintenant, et de ses perspectives.
Universciences
  • Samedi 7 mars : Troisième journée de contribution “Femmes de sciences sur Wikipédia”.

Dans les Grandes écoles

CDEFI
Opération “Ingénieuses” 2015

Cette opération vise à recenser et à valoriser toutes les initiatives prises par les écoles d’ingénieur(e)s tout au long de l’année pour :

  • susciter des vocations d’ingénieures chez les jeunes filles et plus généralement promouvoir les formations et les métiers de l’ingénierie auprès du public féminin ;
  • lutter contre les stéréotypes de genre ;
  • promouvoir l’égalité femmes-hommes.

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